🛡️ Données RH & conformité RGPD : les erreurs les plus fréquentes (et comment les éviter)

Madircom • 30 mai 2025

Données RH & conformité RGPD : les erreurs les plus fréquentes (et comment les éviter)

En 2025, les Ressources Humaines manipulent chaque jour une quantité considérable de données sensibles : candidatures, bulletins de paie, arrêts maladie, évaluations, coordonnées personnelles, historiques professionnels…

👉 Et pourtant, la conformité au RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données) reste encore floue pour beaucoup de services RH.


📢 Malheureusement, ce flou ouvre la porte à des erreurs… qui peuvent coûter cher : amendes, pertes de confiance, atteinte à la réputation.


Mais rassurez-vous : avec les bons réflexes, il est possible de protéger les données tout en simplifiant ses pratiques. Voici les erreurs les plus fréquentes et comment les corriger. 👇


1️⃣ Conserver trop longtemps les données des candidats 

📌 L’erreur :

Garder des CV “au cas où”… pendant des années. Ou ne pas fixer de durée de conservation pour les candidatures non retenues.


❌ Cela enfreint le principe de limitation de la durée de conservation.


🎯 La bonne pratique :

✅ Supprimer les données des candidats non retenus après 2 ans maximum (avec leur consentement).
✅ Informer clairement les candidats dès la collecte : qui ? quoi ? combien de temps ?


📢 Un bon vivier de talents, c’est bien. Mais un vivier conforme, c’est mieux. 


2️⃣ Utiliser le mail pour tout… sans précaution 

📌 L’erreur :

Envoyer des bulletins de paie ou des informations confidentielles en pièce jointe non protégée.

Ou… faire un “répondre à tous” par erreur sur une liste de candidatures. 😬


🎯 La bonne pratique :

✅ Chiffrer les documents sensibles.
✅ Utiliser des plateformes RH sécurisées ou des espaces personnels (coffres-forts numériques).
✅ Sensibiliser les équipes aux bonnes pratiques d’envoi.


📢 Le mail est un outil pratique… mais pas un coffre-fort. 


3️⃣ Collecter plus de données que nécessaire 

📌 L’erreur :

Demander la situation familiale dans un formulaire de recrutement, exiger une photo, ou collecter des justificatifs qui ne sont pas utiles au poste.


❌ Cela va à l’encontre du principe de minimisation des données.


🎯 La bonne pratique :

✅ Ne collecter que ce qui est strictement nécessaire au regard des finalités RH.
✅ Justifier chaque donnée collectée par un usage précis et documenté.


📢 Plus vous collectez de données inutiles, plus vous prenez de risques. 


4️⃣ Oublier de former les équipes RH au RGPD 

📌 L’erreur :

Croire que la conformité RGPD est l’affaire du DPO ou du service juridique uniquement.

❌ Or, les RH sont en première ligne, et les erreurs viennent souvent d’un manque de sensibilisation.


🎯 La bonne pratique :

✅ Former régulièrement les collaborateurs RH aux règles de traitement des données.
✅ Mettre à jour les pratiques lors de chaque nouveau projet RH (nouvel outil, nouveau formulaire…).


📢 La conformité, c’est une culture, pas un document. 


5️⃣ Négliger l’information des salariés et candidats

📌 L’erreur :

Ne pas afficher clairement les mentions obligatoires : finalité, durée, droits d’accès, etc.

❌ Ou les rendre illisibles, noyées dans une politique de confidentialité de 20 pages.


🎯 La bonne pratique :

✅ Fournir des mentions d’information claires, synthétiques et accessibles.
✅ Rappeler aux collaborateurs qu’ils peuvent accéder, modifier ou supprimer leurs données sur simple demande.


📢 Le RGPD, ce n’est pas que des contraintes. C’est aussi un levier de transparence et de confiance. 


✅ Les RH au cœur de la conformité… et de la confiance

💡 En 2025, la donnée RH est un actif stratégique et sensible. Elle permet de mieux piloter, recruter, fidéliser… à condition de la traiter avec rigueur, éthique et transparence.


✔️ Supprimez ce qui doit l’être.
✔️ Limitez ce que vous collectez.
✔️ Sécurisez ce que vous transmettez.
✔️ Formez celles et ceux qui manipulent les données.


📢 Car une entreprise responsable, c’est une entreprise qui protège ce qui compte vraiment : ses talents… et leurs données.


👉 Besoin d’un audit, d’une campagne de sensibilisation ou d’un kit conformité RH RGPD ? Parlons-en. 💬



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par Madircom 21 juillet 2025
Fini le temps où l’écologie en entreprise se limitait à un tri des déchets ou à quelques slogans bien sentis dans le rapport RSE. En 2025, les collaborateurs toutes générations confondues veulent du concret. Et ce besoin de cohérence écologique devient un levier puissant d’engagement, d’attractivité et de rétention. 1️⃣ L’écologie RH : une attente devenue incontournable 📊 En 2024, 81 % des salariés déclarent attendre un engagement écologique fort de la part de leur entreprise (source : BVA ). Ce n’est plus une attente marginale ou “à la mode” : c’est un critère de sens, d’adhésion et de fidélité. Et pourtant… La défiance est bien réelle. 🚨 Trop d’organisations affichent des engagements RSE… sans changement visible sur le terrain. Résultat : 😶 Les jeunes talents décrochent, faute de cohérence entre les valeurs affichées et le quotidien vécu. 🔍 Les candidats investiguent, comparent, questionnent : Glassdoor, avis Google, réseaux sociaux internes … rien n’échappe au radar écologique des nouvelles générations. 😤 Les salariés en poste ressentent une dissonance entre les messages corporate et les gestes concrets, et finissent par se désengager. 💬 Dire “on agit pour la planète” tout en : générant des déchets à chaque événement interne, multipliant les déplacements inutiles, imposant un rythme de travail incompatible avec les enjeux écologiques… … revient à détruire le capital confiance de votre marque employeur. 👉 L’écologie ne peut plus être un slogan RH. Elle doit devenir une preuve RH, visible dans : vos modes de management, vos choix de fournisseurs, vos pratiques de formation, vos politiques d’aménagement des bureaux ou de télétravail. 🎯 La crédibilité RH en 2025 se construit sur un triptyque simple : Dire. Faire. Montrer. Et dans cet ordre. 2️⃣ Repenser la fonction RH à l’ère écologique En 2025, les Ressources Humaines ne peuvent plus rester en marge de la transition écologique. Elles sont à un carrefour stratégique : là où convergent transformation des métiers, attentes sociétales, et engagement des talents. 💬 Accompagner le changement ne suffit plus. 👉 Il faut maintenant en être l’architecte. Le catalyseur. Le moteur. 🎯 Concrètement, cela veut dire quoi ? ✔️ Revoir les politiques de mobilité et de télétravail → Encourager le télétravail intelligent pour limiter l’empreinte carbone, → Réduire les déplacements inutiles et favoriser le train à l’avion, → Promouvoir les mobilités douces : vélo, co-voiturage, prime transport durable… ✔️ Éduquer et former aux bons gestes écologiques → Sensibilisation aux éco-gestes en entreprise, → Ateliers Fresque du Climat, → Modules e-learning sur les enjeux climatiques liés au secteur d’activité, → Valorisation des initiatives internes des collaborateurs. ✔️ Orienter les carrières vers l’impact → Mettre en avant les métiers à impact positif dans les mobilités internes, → Revaloriser les compétences “écotransversales” dans les entretiens annuels : sobriété, circularité, responsabilité… ✔️ Aligner la politique d’achat sur les valeurs écologiques → Exit les goodies inutiles et importés à bas coût, → Place aux fournisseurs locaux, aux équipements reconditionnés, aux événements à empreinte limitée. 💡 Chaque achat RH est un acte politique. ✔️ Faire de l’écologie un sujet de pilotage RH → Indicateurs de durabilité RH dans les comités de direction, → Intégration dans les KPI de QVCT et de marque employeur, → Dialogue social sur les pratiques responsables. 📢 L’écologie n’est pas un “plus”. C’est un prisme. Un fil rouge qui doit traverser toutes les pratiques RH : recrutement, onboarding, formation, mobilité, reconnaissance. 👉 Elle ne doit plus vivre à côté de la stratégie RH. Elle doit en être le socle transversal. 3️⃣ L’éco-engagement, un puissant levier d’attractivité En 2025, le “green” n’est plus un bonus. C’est un critère de sélection pour rejoindre une entreprise, mais aussi pour y rester. 🌱 Les jeunes générations (Z, Alpha) choisissent des employeurs qui partagent leurs convictions. Et les autres, parfois plus expérimentés, veulent tout simplement être cohérents avec leur éthique personnelle. 💬 Comme le résume un collaborateur en toute franchise : “Pourquoi je resterais dans une boîte qui détruit la planète… pendant que je trie mes déchets à la maison ?” 👉 Ce décalage entre convictions individuelles et actions collectives crée du désengagement, de la dissonance, du cynisme. 🎯 À l’inverse, les entreprises qui placent l’écologie au cœur de leur stratégie RH récoltent des bénéfices concrets : ✅ Baisse du turnover → Les collaborateurs trouvent du sens dans leur travail. → Ils restent, car ils ont l’impression de contribuer à quelque chose de plus grand. ✅ Hausse de l’engagement → Travailler dans une entreprise alignée avec ses valeurs renforce la motivation intrinsèque. → Les salariés s’impliquent, proposent, innovent davantage. ✅ Cohésion interne renforcée → L’éco-responsabilité devient un langage commun, une fierté partagée, une mission collective. → Elle casse les silos, décloisonne les fonctions, rassemble les générations. ✅ Une marque employeur qui inspire (vraiment) 🌟 → Ce sont les salariés qui en parlent le mieux : posts spontanés, recommandations, fierté d’appartenance. → Résultat ? Plus de candidatures qualifiées, un recrutement facilité… et un vrai différenciateur sur un marché tendu. 🧠 En résumé : L’engagement écologique ne se limite pas à cocher une case RSE. C’est un moteur d’attractivité, de rétention et de performance RH. 📢 Et dans un monde où les talents choisissent leurs employeurs autant que l’inverse, vous n’avez plus le luxe de l’inaction. 4️⃣ Et concrètement, que peuvent faire les RH ? L'écologie ne doit plus rester cantonnée à la direction RSE ou à quelques initiatives ponctuelles. 👉 Les RH ont un rôle clé à jouer pour ancrer cette transition dans le quotidien des équipes, des bureaux jusqu’aux pratiques managériales. Voici 5 actions concrètes et activables dès maintenant : 🌱 1. Proposer des “congés climat” pour l’engagement environnemental Offrez aux collaborateurs la possibilité de consacrer quelques jours par an à des actions éco-citoyennes (reboisement, sensibilisation, soutien à des ONG environnementales). 🎯 Résultat : du sens, de la reconnaissance, et une culture d’entreprise alignée avec ses engagements. 📦 2. Réduire l’empreinte carbone des recrutements ✈️ Fini les allers-retours pour un premier entretien. 💻 Priorisez les visios, les tests en ligne, les parcours candidats digitalisés et sobres. Une expérience candidat moderne et responsable. 🗣️ 3. Impliquer les collaborateurs dans la politique environnementale Mettez en place des cercles éco-responsables : des groupes transverses qui font remonter les idées, suivent les actions, proposent des initiatives concrètes. 💬 Une manière de valoriser l’intelligence collective, tout en fédérant autour d’un enjeu partagé. 🏢 4. Réaménager les espaces de travail durablement Et si vos bureaux reflétaient vos valeurs ? Matériaux écologiques, gestion des déchets, mobiliers reconditionnés, espaces partagés optimisés… Chaque choix compte. Et se voit. 💡 C’est aussi un marqueur fort de votre culture d’entreprise. 📈 5. Intégrer les objectifs RSE dans la gestion des talents ➡️ Entretien annuel = moment pour valoriser l’engagement environnemental ➡️ Système de primes = prise en compte des initiatives vertes ➡️ Parcours managériaux = intégration d’une culture écologique dans le leadership 🎯 Le message est clair : l’impact environnemental devient un critère RH comme les autres. 💬 En résumé : les RH ne doivent pas être de simples relais… mais des catalyseurs de la transformation écologique. Et cette transformation commence par des preuves, des actes et du concret. 💡 L’écologie n’est plus un supplément d’âme, c’est un pilier RH Les salariés attendent moins de promesses, plus de preuves. Ils veulent appartenir à une entreprise alignée avec les enjeux du monde réel, pas avec un storytelling corporate dépassé. 👉 Il ne s’agit plus de cocher une case “environnement”, mais d’incarner une responsabilité partagée, durable et sincère. 📢 Et si les RH devenaient les architectes de la transition écologique en entreprise ? 🔁 À vous de jouer : votre prochain plan d’action RH… sera-t-il vraiment éco-responsable ? Pour en savoir plus, prenez rendez-vous avec nous : Prenez RDV. Pour aller plus loin : 30 bonnes pratiques RH pour valoriser les SENIORS en entreprise https://amzn.to/3zJ4XrA
par Madircom 18 juillet 2025
En matière de diversité, les regards se tournent souvent vers le genre, l’origine sociale, le handicap ou l’orientation sexuelle. Mais un autre angle, tout aussi crucial, reste souvent ignoré : l’inclusion générationnelle. Dans un monde du travail où quatre voire cinq générations cohabitent désormais, savoir manager l’âge est devenu un enjeu stratégique, humain… et éminemment sous-estimé. 1️⃣ Des stéréotypes bien ancrés… des talents bien trop vite écartés 🧠 “Les jeunes sont instables, individualistes, ils veulent tout tout de suite.” 🎯 “Les seniors sont lents, coûteux, dépassés par les nouveaux outils.” Ces phrases, vous les avez sûrement déjà entendues. Peut-être même pensées. Et pourtant, ce sont des clichés tenaces, qui empêchent les organisations de bénéficier pleinement de toutes les richesses générationnelles. ⛔ En stigmatisant une classe d’âge, on réduit une personne à son année de naissance, au lieu de la considérer pour ce qu’elle est : un professionnel avec des compétences, des valeurs et un potentiel. 🔄 Décryptage de ces fausses idées : Les jeunes ? Ils ne fuient pas le travail : ils fuient les environnements figés. Ils ne rejettent pas l’autorité : ils cherchent une relation de confiance. Ils ne manquent pas de loyauté : ils en ont… quand on leur donne une vision claire, du sens, et un cadre respectueux. 👉 Leur force ? Une maîtrise native des outils numériques, une agilité intellectuelle, et une volonté de construire autrement. Les seniors ? Non, ils ne sont pas dépassés. Beaucoup ont évolué avec les transformations technologiques, parfois plus vite que certains managers. Ils ne sont pas coûteux, ils sont rentables : moins d’absentéisme, plus de stabilité, un sens aigu des responsabilités. 👉 Leur force ? Une expérience précieuse, une résilience éprouvée, et une vision stratégique née du vécu. 🎯 L’entreprise inclusive ne choisit pas entre juniors et seniors. Elle construit des équipes plurielles, complémentaires, équilibrées. Elle sait que la génération Z n’est pas là pour “remplacer” les baby-boomers… mais pour coexister, apprendre, transmettre et grandir ensemble. 👉 Mettre une génération sur la touche, c’est se couper d’un pan entier d’intelligence collective. C’est freiner l’innovation, altérer la dynamique d’équipe… et, souvent, rater l’opportunité de créer une culture d’entreprise plus riche, plus humaine, plus performante. 2️⃣ Derrière le fossé générationnel : un problème de culture d’entreprise On parle souvent de choc des générations. Mais en réalité, ce n’est pas une question d’âge… 👉 C’est un enjeu de culture, de communication et de posture managériale. Dans beaucoup d’organisations, les tensions intergénérationnelles ne sont pas liées aux compétences, ni aux aspirations profondes… mais à l’absence de passerelles concrètes pour se comprendre et collaborer. 🎯 Le vrai problème, ce n’est pas que les générations pensent différemment. C’est qu’elles n’ont pas d’espace structuré pour partager, apprendre et se relier. 🔍 Symptômes d’un malaise souvent invisible : 🧑‍💼 Les jeunes collaborateurs : N’osent pas poser de questions, de peur d’être jugés. Se sentent infantilisés, exclus des décisions importantes. Perçoivent les processus internes comme rigides ou déconnectés de la réalité. 🧓 Les collaborateurs plus expérimentés : Ont le sentiment qu’on ne valorise plus leur savoir-faire. Vivent mal le “jeunisme” ambiant ou l’invisibilisation de leur rôle. Se ferment parfois à la nouveauté, par peur de ne plus avoir leur place. 👥 Les managers, eux : Se retrouvent souvent sans grille de lecture pour comprendre les besoins et les modes de fonctionnement de chacun. Naviguent à vue, entre attentes contradictoires, conflits générationnels larvés, et manque de formation sur le sujet. 💣 Conséquence : un climat silencieusement tendu 😶 Des équipes qui se parlent peu, s’observent beaucoup, et se jugent parfois. 📉 Une coopération minimale, un engagement à la baisse, une innovation bridée. 🚪 Et, à terme, des départs “inexpliqués”… mais évitables. 💡 Ce qu’il faut retenir : Le fossé générationnel n’est pas une fatalité. C’est le symptôme d’une culture d’entreprise qui n’a pas encore appris à valoriser la diversité des âges comme une richesse stratégique. 👉 La mission des RH et des managers ? Créer des ponts, pas des cloisons. Des lieux pour transmettre, écouter, faire dialoguer les styles et les récits. 🔁 Car une équipe intergénérationnelle bien accompagnée, c’est un accélérateur de performance durable, pas un risque à gérer. 3️⃣ L’inclusion générationnelle, un puissant levier de performance collective On parle souvent de diversité d’âge comme d’un défi RH… Mais et si c’était l’une de vos meilleures opportunités stratégiques en 2025 ? 👀 🎯 Inclure toutes les générations, ce n’est pas une démarche cosmétique, ni une question de quota. C’est un choix structurant qui agit à tous les niveaux : engagement, innovation, performance et fidélisation. 💼 Les entreprises qui jouent la carte intergénérationnelle à fond observent des résultats concrets : ✔️ Moins de turnover, car les profils expérimentés trouvent un cadre valorisant et utile pour transmettre et non pour “tenir jusqu’à la retraite”. ✔️ Une meilleure capacité d’analyse et de résolution des problèmes, grâce à la combinaison des savoirs historiques et des regards neufs. ✔️ Un management enrichi, capable de jongler avec plusieurs styles relationnels et d’ajuster ses pratiques à la diversité des profils. ✔️ Une culture du partage renforcée : les plus jeunes forment les anciens au digital (reverse mentoring), les seniors transmettent leur expérience terrain, leur recul et leur stabilité émotionnelle. 🧠 Le vrai pouvoir de l’inclusion générationnelle ? C’est la complémentarité. Les seniors rassurent, structurent, consolident. Les juniors challengent, innovent, dynamisent. 💡 Et lorsqu’on organise ce dialogue intergénérationnel avec méthode, binômes, mentorat croisé, projets mixtes, codéveloppement 👉 on transforme les différences en ressource collective durable. 📢 En clair : l’intergénérationnel, ce n’est pas du bonus. C’est un booster. Mais encore faut-il l’activer de façon intentionnelle, structurée, continue. 4️⃣ Concrètement, que peuvent faire les RH ? L’inclusion générationnelle ne se résume pas à cocher une case dans un plan RSE. 🎯 C’est une politique RH à part entière, à penser, structurer, et déployer avec intention. Voici 6 leviers d’action immédiats pour engager votre transformation : ✅ Former les managers à la gestion multigénérationnelle Un bon manager aujourd’hui, c’est celui qui sait parler à un junior en quête de feedback instantané et à un senior attaché à une reconnaissance de fond. 💡 Offrez-leur des outils concrets : techniques d’écoute active, compréhension des attentes générationnelles, reconnaissance adaptée à chacun. ✅ Valoriser tous les âges dans vos communications internes et externes 📸 Trop souvent, l’image de marque employeur reste focalisée sur la jeunesse. 👉 Montrez des visages de toutes générations dans vos campagnes RH. Célébrez un départ à la retraite autant qu’une intégration de jeune talent. ✅ Favoriser la transmission croisée (mentorat & reverse mentoring) 🎓 Et si un senior aidait un jeune à structurer ses décisions, pendant que celui-ci l’accompagnait sur les outils digitaux ou les codes culturels émergents ? 💬 L’apprentissage mutuel renforce la confiance et brise les préjugés. ✅ Adapter les parcours RH à chaque étape de vie 🏃‍♂️ Un jeune parent, un collaborateur senior, un alternant, un salarié en reconversion… Chacun a des besoins, des aspirations, des contraintes spécifiques. 👉 Offrez des parcours de formation, de mobilité ou de projets adaptés à chaque phase de carrière. ✅ Analyser (vraiment) les biais d’âge dans vos process RH 🔍 Quels profils sont écartés en entretien ? Qui progresse… ou plafonne ? Intégrez l’âge dans vos audits de diversité : dans le recrutement, la promotion, l’évaluation. 🎯 Objectif : démasquer les automatismes et agir dessus. ✅ Créer des binômes intergénérationnels sur des projets stratégiques 🧩 L’innovation naît du frottement des idées. Associer différentes générations sur une mission clé, c’est créer un mix unique de créativité, d’audace et d’expérience. Et c’est surtout renforcer le lien au-delà des cloisons d’âge. 📢 En résumé : 👉 L’inclusion générationnelle ne se décrète pas. Elle se construit, s’anime, s’incarne et se mesure. Et si les RH devenaient enfin les architectes d’un dialogue intergénérationnel productif et inspirant ? 💬 L’âge n’est pas un problème, c’est une richesse 👏 En 2025, ignorer l’enjeu de l’inclusion générationnelle, c’est piloter une entreprise… avec un œil fermé. 💡 Les entreprises les plus performantes seront celles qui savent faire dialoguer les âges, et non les opposer. 📢 Parce qu’il n’y a pas d’innovation sans mémoire, ni de transmission sans confiance. Et vous, que faites-vous concrètement pour valoriser toutes les générations dans votre entreprise ? Pour en savoir plus, prenez rendez-vous avec nous : Prenez RDV. Pour aller plus loin : 30 bonnes pratiques RH pour valoriser les SENIORS en entreprise https://amzn.to/3zJ4XrA
par Madircom 14 juillet 2025
Fini le temps où la diversité se résumait à un bandeau photo sur la page carrière. En 2025, les candidats toutes générations confondues attendent des engagements concrets, visibles, incarnés. 👉 La marque employeur ne se joue plus sur les discours… mais sur les preuves. Et la mixité sociale, l’équité et l’inclusion deviennent des piliers RH aussi stratégiques qu’éthiques. 1️⃣ Diversité & inclusion : plus qu’un enjeu, une exigence sociale Il ne suffit plus de dire que l'on “favorise la diversité”. Les talents d’aujourd’hui et surtout ceux de demain exigent des preuves, pas des promesses. Ils ne veulent pas simplement occuper un poste. Ils veulent s’aligner à une culture, contribuer à une mission, évoluer dans un environnement juste. 👀 Pour eux, l’inclusion n’est pas un bonus RH. C’est un critère de sélection décisif dans le choix de leur employeur. 🎯 Recruter des profils variés, ce n’est pas "faire un effort" : C’est : ✔️ Multiplier les angles de vue pour mieux résoudre les problèmes complexes ✔️ Stimuler la créativité par la confrontation d’idées nouvelles ✔️ Mieux représenter vos clients et usagers dans toute leur diversité ✔️ Renforcer votre résilience collective dans un monde incertain 📈 D’ailleurs, les chiffres sont sans appel : Selon McKinsey, les entreprises ayant un haut niveau de diversité ethnique et sociale dans leurs équipes de direction sont 36% plus susceptibles d’afficher une performance financière supérieure à la moyenne. 👉 La diversité n’est pas une contrainte RH à cocher. C’est un levier stratégique, culturel et économique. 2️⃣ Mixité sociale : un angle aveugle RH encore trop courant Quand on parle diversité, les projecteurs sont souvent braqués sur le genre, le handicap ou l’origine ethnique. Mais un autre critère reste largement sous-traité : le parcours socio-économique. 🔍 Pourtant, la reproduction sociale reste une réalité écrasante dans le monde du travail. Les études sont claires : 📊 80 % des dirigeants d’entreprise sont issus des mêmes filières élitistes, souvent grandes écoles ou milieux privilégiés. 📊 Un jeune d’un quartier populaire met en moyenne 2 fois plus de temps à décrocher un premier CDI qu’un jeune issu de classe aisée, à compétences égales. 👉 En clair : le mérite ne suffit pas quand les portes restent verrouillées par les codes sociaux. Tenue, vocabulaire, réseau, “savoir-être” normé… Ce sont autant de filtres invisibles qui empêchent certains talents d’émerger, malgré leur potentiel, leur motivation et leur résilience. 🎯 Pour y remédier, les entreprises ont un rôle à jouer et des leviers à actionner : Le mentorat : pour aider les jeunes à naviguer dans des codes qu’ils n’ont pas appris à la maison. Le recrutement sans CV : pour évaluer des compétences et non des parcours. Les partenariats avec les Écoles de la Deuxième Chance ou les missions locales : pour sourcer autrement, au plus près des talents “invisibles”. Les stages de 3e réservés à des jeunes issus de REP/REP+ : pour faire tomber les barrières dès le collège. 💡 La vraie inclusion ne consiste pas à “diversifier les profils sur le papier” mais à changer les grilles de lecture. C’est aller chercher le potentiel là où personne ne regarde encore. 🌍 Parce que la mixité sociale, c’est l’assurance d’une entreprise plus juste, plus riche… et plus proche de la réalité de la société. 3️⃣ Équité ≠ égalité : comprendre la nuance clé Trop souvent confondues, égalité et équité ne poursuivent pas tout à fait les mêmes objectifs. 🟦 L’égalité, c’est offrir à chacun les mêmes ressources, les mêmes règles, les mêmes cadres. 🟩 L’équité, c’est reconnaître que nous ne partons pas tous du même point de départ et qu’il faut donc adapter les moyens pour garantir une réelle chance de réussite à chacun. 🎯 En clair : donner à tout le monde les mêmes chaussures ne garantit pas que chacun pourra courir la même course. C’est ici que les politiques RH et RSE prennent tout leur sens : non pas standardiser l’accompagnement, mais personnaliser les soutiens, en fonction des besoins réels. 🔍 Quelques exemples concrets d’équité au travail : ✅ Adapter les entretiens de recrutement aux personnes neuroatypiques (ex. : délais de réponse, supports visuels, reformulation claire des questions). ✅ Proposer des parcours de formation différenciés pour les salariés en reconversion ou peu qualifiés. ✅ Aménager les horaires pour des parents solos ou des aidants familiaux. ✅ Prévoir un accompagnement renforcé pour les primo-arrivants ou salariés en situation d’analphabétisme numérique. 💡 L’équité, c’est refuser l’uniformité quand elle devient une injustice déguisée. C’est mettre l’humain au centre, avec ses réalités, ses fragilités, ses potentiels. Et surtout : 📢 C’est incarner une marque employeur réellement inclusive pas juste déclarative. 4️⃣ La marque employeur inclusive : plus qu’un label, une preuve à vivre au quotidien Trop d’entreprises arborent la diversité comme un badge. Mais en 2025, l’ère des promesses creuses est révolue. 📉 Une entreprise qui clame l’inclusion, mais dont le comité de direction est uniformément masculin, blanc, quinquagénaire… ❌ 📉 Une entreprise qui parle d’égalité des chances, mais continue de recruter exclusivement dans les mêmes grandes écoles… ❌ 📉 Une entreprise qui publie un post LinkedIn pour la Journée du Handicap, mais n’a aucune politique d’aménagement réel… ❌ 👉 Ce décalage entre ce que vous affichez et ce que vos collaborateurs vivent est la première cause de désengagement… et de bad buzz RH. 🎯 À l’inverse, les marques employeurs qui marquent les esprits sont celles qui prouvent, chaque jour, que leurs engagements sont concrets : 👥 Des équipes où chacun peut se projeter, quelles que soient ses origines, son genre, son âge, ou son parcours. 🔎 Des chiffres partagés sur la diversité, la parité, l’évolution interne — sans fard ni mise en scène. 🗣️ Des témoignages authentiques de salariés, pas des campagnes marketées. 📈 Des résultats mesurables, année après année, sur les avancées (et les freins !) rencontrés. 💡 La marque employeur inclusive, ce n’est pas une opération de com’. C’est une démarche continue, exigeante, humble, qui aligne les valeurs aux pratiques. 📢 En 2025, les candidats ne veulent plus seulement un job. Ils veulent une entreprise où ils se reconnaissent… et où ils se sentent reconnus. 💡 L’inclusion n’est pas une option, c’est une révolution culturelle La diversité et la mixité sociale ne doivent plus être des lignes dans un plan RSE. Elles doivent devenir le cœur battant de votre culture d’entreprise. 👥 Parce qu’un collaborateur qui se sent respecté, représenté et soutenu, c’est un collaborateur qui s’engage. 🧲 Parce qu’un candidat qui perçoit une entreprise réellement inclusive… a envie de vous rejoindre. 📢 Marque employeur 2025 = Moins de vitrines. Plus d’actions. Plus de preuves. Plus d’humain. 👉 Et vous, votre politique de diversité : elle se vit… ou elle se lit ? 👀 Pour en savoir plus, prenez rendez-vous avec nous : Prenez RDV. Pour aller plus loin : 30 bonnes pratiques RH pour valoriser les SENIORS en entreprise https://amzn.to/3zJ4XrA
par Madircom 11 juillet 2025
Chaque fin d’année, c’est le même rituel : des managers débordés, des collaborateurs stressés, des formulaires à rallonge… 👉 Et au final ? Peu de surprises. Peu d’impact. Beaucoup de frustrations. 🎯 En 2025, il est temps de poser la vraie question : l’entretien annuel est-il encore le bon outil pour faire grandir vos équipes ? Spoiler : pas toujours. Et parfois… pas du tout. 1️⃣ Un outil figé dans un monde qui ne l’est plus L’entretien annuel partait d’une bonne intention : 👉 faire le point sur les performances, fixer des objectifs, discuter évolution… en une seule fois, à date fixe. Mais ce rituel, hérité d’une culture managériale des années 80, repose sur un modèle de stabilité : 📌 des objectifs annuels figés, 📌 des organisations hiérarchiques, 📌 des carrières linéaires et prévisibles. 🔁 Or, en 2025, le travail n’a plus rien à voir. Aujourd’hui, le monde bouge plus vite que votre trame d’entretien : ⚡ Le changement est permanent : projets qui évoluent, outils qui changent, clients plus exigeants. 🎯 Les objectifs sont ajustés en temps réel. 📲 Les collaborateurs sont connectés en continu. 👥 Le travail se fait en réseau, pas en silo. 💬 Résultat : attendre 12 mois pour faire un retour, un ajustement ou une reconnaissance, c’est arriver trop tard. C’est comme vouloir piloter une voiture les yeux fermés… et n’ouvrir les yeux qu’une fois par an. 👉 Ce dont les équipes ont besoin, ce n’est pas plus de formalisme. C’est plus de fréquence, plus d’agilité, plus d’humanité. ✨ Un feedback régulier, vivant, contextualisé, c’est : corriger les trajectoires avant la sortie de route, valoriser les efforts au bon moment, construire une relation managériale de confiance. Bref : c’est passer de l’entretien annuel au management relationnel continu. 2️⃣ Des effets pervers… bien connus À force d’être institutionnalisés, ritualisés, souvent mal accompagnés… 👉 les entretiens annuels sont devenus une caricature de dialogue managérial. 🎯 Sur le papier, ils doivent motiver, reconnaître, orienter. 🛑 Dans la réalité ? Ils ratent (trop souvent) leur cible. 🚨 Trois dérives fréquentes : 📉 Un moment générateur de stress Plutôt que d’être un levier de reconnaissance, l’entretien devient un examen anxiogène. 👉 Les collaborateurs le redoutent, craignent le jugement, préparent des justifications… au lieu de venir avec leurs idées et leurs envies. 📉 Une lecture figée du passé On y parle davantage de ce qui a été mal fait que des progrès accomplis. 👉 Résultat : on évalue, on classe, on note… mais on oublie d’inspirer. 📉 Une posture descendante, peu propice à la confiance L’entretien annuel reste, dans beaucoup d’organisations, un outil de contrôle hiérarchique. 👉 Il renforce la distance entre le manager et le collaborateur, au lieu de créer un espace d’échange mutuel. 💬 Et surtout : il n’y a souvent pas de suite. Pas de feedback entre deux entretiens. Pas d’évolution des objectifs. Pas de lien avec la réalité du terrain. Bref : une photo figée… dans un monde qui défile en accéléré. 3️⃣ Le feedback continu : une alternative moderne et humaine Supprimer l’entretien annuel ne veut pas dire supprimer le dialogue. 👉 Cela signifie transformer un moment ponctuel et figé… en une dynamique vivante et continue. 🧠 Car ce que cherchent les collaborateurs aujourd’hui, ce n’est pas plus de bilans, mais plus de repères. Pas des jugements en différé, mais des feedbacks utiles, réguliers, sincères. 🎯 Voici à quoi pourrait ressembler une organisation du feedback plus agile : ✅ Des points courts mais fréquents → Une fois par mois, ou à la fin de chaque projet, un échange de 20-30 min pour faire le point sur les réussites, les difficultés, les apprentissages. 📈 Cela évite l’effet “on accumule tout sur un an”… et ça renforce la réactivité managériale. ✅ Des managers formés au feedback bienveillant → L’écoute active, la reconnaissance, le non-jugement, la reformulation… Ce sont des compétences clés, pas des intuitions naturelles. Former les managers, c’est professionnaliser le lien humain. ✅ Des points de développement co-construits chaque trimestre → Avec des objectifs souples, ajustables, partagés. On ne parle plus “d’évaluation”, mais de progression continue. ✅ Des espaces de parole dédiés → Formels ou informels, anonymes ou non, ces espaces permettent d’exprimer frustrations, idées, besoins. 🎤 Ils renforcent la confiance et préviennent les tensions. ✅ Des auto-évaluations croisées → Chaque collaborateur prend aussi la parole sur sa propre perception : de ses réussites, de ses marges de progression, de son vécu. Un échange d’adulte à adulte, pas unilatéral. 💡 Le bénéfice de cette approche ? Plus d’écoute = plus de motivation 🎯 Plus de clarté = moins de tensions 🤝 Plus de proximité = plus d’engagement ❤️‍🔥 📢 En 2025, le management moderne ne contrôle pas, il accompagne. Il ne “note” pas ses équipes, il grandit avec elles. 4️⃣ Des entreprises qui osent… et qui gagnent 💡 Et si le vrai courage RH en 2025, c’était de désapprendre ce qui ne fonctionne plus ? C’est exactement ce qu’ont fait plusieurs entreprises pionnières… en supprimant ou transformant leurs entretiens annuels. Des géants comme Adobe, Microsoft, Decathlon, General Electric ont osé rompre avec le format figé, pour réinventer un management plus humain, plus agile, plus utile. 🚀 Résultats observés sur le terrain : ✔️ + de motivation et d’engagement → Quand les collaborateurs reçoivent un retour utile en temps réel, ils se sentent écoutés, reconnus, considérés. 📊 Chez Adobe, cela a conduit à une hausse de la performance perçue et une baisse du turnover. ✔️ Une culture du feedback renforcée → Exit le jugement annuel anxiogène. Place à une culture du dialogue permanent, propice à l’amélioration continue. 💬 Résultat : des équipes plus matures, plus responsables, plus proactives. ✔️ Moins de paperasse, plus d’écoute → Fini les formulaires interminables et les notes figées dans le temps. Les managers peuvent se concentrer sur leurs équipes, pas sur la bureaucratie RH. ✔️ Un management recentré sur l’essentiel : la relation → Le feedback n’est plus un outil de contrôle, mais un levier de confiance, de développement, de coopération. 🔎 Ce que ces entreprises nous montrent ? Qu’il est possible de concilier performance et bienveillance, rigueur et souplesse, structure et humain. 📢 Supprimer l’entretien annuel n’est pas une perte de cadre. 👉 C’est un choix stratégique, pour remettre le lien humain au cœur de la performance collective. Et si, finalement, le meilleur indicateur RH… c’était la qualité des relations dans votre organisation ? 💡 Ce qu’il faut supprimer, c’est l’automatisme, pas l’intention Et si on arrêtait de faire "parce qu’on a toujours fait comme ça" ? Et si on osait remettre à plat nos rituels RH pour les adapter vraiment aux enjeux humains et business d’aujourd’hui ? 📢 Ce n’est pas l’entretien annuel en soi qui est à bannir. 👉 C’est sa forme figée, descendante et déconnectée du réel. ✨ En 2025, place à une culture du dialogue continu, agile, responsabilisante. Et vous, êtes-vous prêts à faire le deuil du bilan annuel… pour ouvrir la voie à quelque chose de plus vivant ? Pour en savoir plus, prenez rendez-vous avec nous : Prenez RDV. Pour aller plus loin : 30 bonnes pratiques RH pour valoriser les SENIORS en entreprise https://amzn.to/3zJ4XrA
par Madircom 7 juillet 2025
Dans beaucoup d’entreprises, les équipes RH et communication interne s’épuisent à rédiger des mails, newsletters, intranets… pour un taux d’ouverture à deux chiffres (et pas dans le bon sens). 😩 “Mais pourquoi personne ne lit ce qu’on envoie ?” Spoiler alert : ce n’est pas (que) un problème de canal. C’est souvent une question de perception, de forme, et de posture. 1️⃣ Trop d’infos… tue l’info 📬📬📬 À force de vouloir tout dire (et tout de suite), on noie le collaborateur dans un flux d’informations constant, souvent non hiérarchisé : ➡️ Nouveaux process ➡️ Événements internes ➡️ Rappels administratifs ➡️ Mots de la direction ➡️ Actus QVCT, RSE, etc. 📉 Résultat : vos mails sont perçus comme une charge mentale supplémentaire. Pas comme une ressource. 🎯 Ce qu’il faut faire : ✔️ Priorisez les messages ✔️ Créez une ligne éditoriale claire ✔️ Donnez des rendez-vous fixes (ex : une newsletter hebdo concise, visuelle, engageante) 2️⃣ Un ton trop institutionnel… et pas assez humain Le langage corporate aseptisé, les tournures impersonnelles, les formules creuses (“dans une dynamique d’amélioration continue…”), c’est NON. 🧠 Vos collaborateurs veulent du concret, du vrai, de l’utile. Pas un copier-coller d’un rapport annuel. 🎯 Ce qu’il faut faire : ✔️ Adoptez un ton direct, accessible, positif ✔️ Parlez “avec”, pas “à” vos équipes ✔️ Intégrez de l’humour, de la clarté, de l’empathie 💬 Une communication interne impactante, c’est celle qu’on a envie de lire… pas qu’on subit. 3️⃣ Vous parlez… mais vous n’écoutez pas La communication n’est pas un monologue. Si vos salariés n’ont aucun espace pour réagir, commenter, poser une question ou donner leur avis… ils se désengagent. 👉 L’absence d’interaction crée une fracture de sens. 🎯 Ce qu’il faut faire : ✔️ Ouvrez des canaux de feedback (intranet, baromètre flash, Teams, cafés RH…) ✔️ Montrez que les retours sont lus et pris en compte ✔️ Mettez en avant les initiatives issues du terrain 4️⃣ Le mauvais message… à la mauvaise personne Un mail envoyé à 800 collaborateurs avec 12 infos dont 9 ne les concernent pas ? ❌ C’est le meilleur moyen de rendre votre communication invisible à force d’être trop généraliste. 🎯 Ce qu’il faut faire : ✔️ Segmentez vos messages selon les publics (managers, terrain, fonctions support…) ✔️ Variez les formats (vidéo, visuel, podcast, infographie, mini-FAQ…) ✔️ Donnez des repères clairs : “Ce message vous concerne si…” 5️⃣ Vous informez… mais vous n’engagez pas Une bonne communication interne ne se contente pas d’informer. Elle crée du lien, de la compréhension, du sentiment d’appartenance. 🤝 Un salarié bien informé, c’est bien. Un salarié impliqué, c’est mieux. 🎯 Ce qu’il faut faire : ✔️ Mettez en valeur les réussites collectives ✔️ Donnez la parole aux collaborateurs eux-mêmes ✔️ Faites vivre la culture d’entreprise dans chaque message 💡 Faites moins… mais mieux ✨ La communication interne ne doit plus être perçue comme un simple “canal de diffusion RH”. Ce n’est ni un journal d’entreprise figé, ni une boîte à rappels logistiques. C’est un levier de culture, de lien et de motivation collective. Trop souvent, on pense qu’en multipliant les messages, les formats, les campagnes, on va mieux informer. Mais en réalité, l’impact ne dépend pas du volume, il dépend de la clarté, de la pertinence, et de la sincérité. 🎯 Communiquer, ce n’est pas “parler beaucoup”. C’est toucher juste. ✅ C’est créer un moment, pas juste transmettre une info. ✅ C’est dire moins, mais dire mieux. ✅ C’est faire en sorte que chaque collaborateur se sente concerné, écouté, considéré. 📢 Parce qu’au fond, ce ne sont pas vos messages qui comptent… 👉 C’est ce qu’ils provoquent : → Une émotion 💬 → Une prise de conscience 💡 → Une envie de contribuer 🙋‍♀️🙋‍♂️ → Une connexion avec la mission collective 🤝 🔄 Alors en 2025, la vraie question n’est plus : “Qu’est-ce qu’on va leur dire ?” Mais : “Comment peut-on mieux les faire vibrer ?” Et vous, êtes-vous prêt à faire évoluer votre communication interne du “push” vers le “lien” ? Pour en savoir plus, prenez rendez-vous avec nous : Prenez RDV. Pour aller plus loin : 30 bonnes pratiques RH pour valoriser les SENIORS en entreprise https://amzn.to/3zJ4XrA
par Madircom 4 juillet 2025
Pendant longtemps, les recruteurs ont concentré leur attention sur les diplômes, les expériences, les compétences techniques. Et les "soft skills" ? Une case tout en bas du CV, à lire "en diagonale". Mais en 2025, cette approche est (enfin) obsolète. ➡️ Parce que ce ne sont plus les lignes sur le CV qui font la différence… mais la posture, le savoir-être, l’agilité comportementale. ➡️ Parce que dans un monde incertain, rapide, en perpétuelle mutation, savoir apprendre, écouter, s’adapter, coopérer… est bien plus précieux que savoir exécuter une tâche figée. 1️⃣ Les compétences techniques s’apprennent… les soft skills se révèlent Oui, maîtriser un outil, une méthode, une procédure, c’est important. Mais soyons honnêtes : dans un monde où la technologie évolue à une vitesse fulgurante, une compétence technique peut devenir obsolète en quelques mois. 👉 Ce qui dure, ce qui résiste à l’usure du temps et du changement, ce sont les compétences humaines. 📌 L’esprit critique, la résilience émotionnelle, la gestion du stress, la capacité à coopérer, à écouter, à gérer un conflit, à motiver… Ce sont ces aptitudes-là qui font la différence entre un bon exécutant… et un véritable pilier d’équipe. 💡 Et ces compétences ne s’enseignent pas sur une plateforme e-learning en 3 modules express. Elles se développent avec l’expérience, l’observation, le feedback, la conscience de soi… Et surtout, elles se révèlent dans la posture, pas dans le CV. 🎯 En entretien, au-delà du savoir-faire, il faut capter : le regard lorsqu’on évoque un échec l’attitude face à une remarque constructive la capacité à formuler une idée de manière claire et respectueuse la façon de réagir à un désaccord ou à une imprécision 💬 Car recruter uniquement sur les hard skills, c’est comme acheter une boîte à outils sans savoir si la personne sait bricoler avec d’autres. Et dans un monde du travail fondé sur l’interdépendance, c’est une prise de risque coûteuse. 👉 Miser sur les soft skills, c’est investir dans la solidité humaine de votre organisation. 2️⃣ Les soft skills boostent la performance… et réduisent les risques Recruter une personne ultra-technique, mais incapable de coopérer ou de communiquer clairement, c’est comme poser une pièce brillante dans un engrenage mal huilé : ça peut bloquer toute la mécanique d’équipe. 👎 Trop souvent, on pense qu’un "expert" fera naturellement performer l’équipe. Mais sans intelligence relationnelle, sans capacité d’adaptation, sans écoute… ➡️ les dégâts collatéraux sont réels : Tensions internes : conflits larvés, incompréhensions, ambiance délétère Turnover accru : les collègues compétents… mais excédés, finissent par partir Charge mentale : les managers et coéquipiers compensent le manque de collaboration Cohésion affaiblie : la culture d’équipe s’effrite, la motivation s’essouffle 🎯 À l’inverse, intégrer un profil doté de solides soft skills, c’est miser sur un moteur collectif durable : ✅ Intégration plus rapide : ils savent s’adapter, observer, comprendre les codes implicites ✅ Création de lien : ces collaborateurs font circuler l’information, apaisent les tensions, stimulent la coopération ✅ Image externe soignée : face aux clients, partenaires ou candidats, ils incarnent professionnalisme et écoute ✅ Résilience au changement : ils gèrent l’incertitude, rebondissent après un échec, accompagnent les autres dans la transition 💡 Et ce sont souvent eux qui émergent naturellement comme référents, mentors ou leaders. Pas à cause d’un titre, mais parce que les autres ont envie de les suivre. 📢 En 2025, les soft skills ne sont pas un bonus RH. Ce sont des amortisseurs de crise, des catalyseurs de collaboration, et des révélateurs de potentiel. Misez sur elles, vous y gagnerez en performance… et en sérénité. 🙌 3️⃣ Alors… pourquoi continue-t-on à les reléguer au second plan ? Malgré tous les constats, les soft skills peinent encore à s’imposer comme des critères centraux de recrutement. Pourquoi ? 🔍 Parce qu’elles ne tiennent pas en une ligne sur un CV : Impossible de résumer l’empathie, l’écoute active ou la gestion du stress avec une simple puce dans une rubrique "compétences". 🔍 Parce qu’elles ne se valident pas en 3 questions fermées : Les identifier demande du temps, de l’attention, et parfois une vraie posture d’enquêteur RH. 🔍 Parce qu’elles bousculent nos réflexes de sélection : On ne peut plus se reposer uniquement sur les diplômes, les expériences passées ou le score LinkedIn. Il faut aller plus loin : observer les réactions, les silences, les attitudes en situation. 🔍 Parce qu’elles obligent à adapter tout le processus : De l’annonce (focalisée sur les savoir-être recherchés), à l’entretien (qui doit être plus comportemental que factuel), jusqu’à l’intégration (où l’on capitalise sur ces qualités). 🎯 Et pourtant, c’est là que réside la vraie valeur ajoutée RH en 2025 : 👉 Ce n’est plus seulement "filtrer" des CV. 👉 C’est repérer des potentiels humains. 👉 C’est faire émerger des personnalités qui vont faire progresser l’équipe, au-delà de la simple exécution d’une fiche de poste. 💡 Autrement dit : on passe du screening automatisé au recrutement incarné. Et c’est ce virage-là qui distingue les recruteurs stratégiques… des simples gestionnaires de candidatures. 📢 Les entreprises qui réussiront demain ne seront pas celles qui auront coché toutes les cases techniques. Mais celles qui auront su recruter des humains… pour faire progresser des humains. ✨ 4️⃣ Comment les intégrer réellement à vos recrutements ? Arrêter de considérer les soft skills comme de simples “bonus” commence par les inscrire au cœur du processus de recrutement. Pas dans la marge. Pas “si on a le temps”. ➡️ Dans le tronc stratégique de votre démarche RH. 🎯 Voici 5 leviers concrets pour y parvenir : ✅ 1. Définir les soft skills clés dès la fiche de poste Ce n’est pas une annexe. C’est le socle. 💬 Que faut-il vraiment pour réussir dans ce rôle ? Résilience, curiosité, adaptabilité, écoute… Listez-les avec autant de soin que les compétences techniques. 👉 Un profil “hard skills + bon état d’esprit” > “expert + mauvais relationnel”. ✅ 2. Adapter les entretiens à l’évaluation comportementale Oubliez les questions génériques. ➡️ Optez pour des questions comportementales ("Parle-moi d’une fois où tu as dû gérer un conflit d’équipe...") ➡️ Ajoutez des mises en situation concrètes, voire des jeux de rôle, pour observer les réactions en conditions réelles. 💡 Ce que le candidat fait… en dit plus long que ce qu’il dit. ✅ 3. Impliquer les managers : le terrain a son mot à dire Les soft skills, ce sont aussi des questions d’adéquation culturelle et relationnelle. Associez les managers dans l’évaluation de la posture, de la capacité à coopérer, à prendre des initiatives, à s’intégrer à l’équipe. 📌 Leur regard est complémentaire, et souvent révélateur. ✅ 4. Utiliser des outils d’évaluation adaptés 👉 Tests de personnalité (MBTI, DISC…) 👉 Feedback 360 👉 Simulations d’équipe (assessment centers) Ces outils permettent de structurer l’observation des comportements sans tomber dans l’intuition ou l’approximation. 💡 Ce n’est pas du gadget, c’est de la donnée humaine analysée avec méthode. ✅ 5. Valoriser les soft skills au-delà du recrutement Recruter, c’est bien. Cultiver, c’est mieux. Intégrez les soft skills à vos : 🔹 Entretiens annuels d’évaluation 🔹 Programmes de formation 🔹 Parcours de mobilité interne 🔹 Plans de succession managériale 📢 Les soft skills doivent être visibles, mesurées, encouragées… à tous les étages de votre stratégie RH. 📢 Vos meilleurs talents ne sont pas ceux qui savent tout… mais ceux qui savent grandir 🧠 En 2025, les soft skills ne sont plus une cerise sur le gâteau : elles sont la pâte même de votre culture d’entreprise. Elles déterminent la capacité à collaborer, innover, s’adapter, rebondir… bref, à durer et à faire durer l’équipe. 👉 Un excellent CV peut impressionner à court terme. Mais ce qui crée de la valeur sur le long terme, c’est : 🔹 La capacité à apprendre vite 🔹 L’écoute et la communication 🔹 La gestion des tensions 🔹 Le leadership positif 🔹 L’envie de progresser… ensemble. 📉 Miser uniquement sur des expertises techniques figées, c’est recruter pour hier. ✨ Miser sur les soft skills, c’est construire votre performance de demain. 🎯 Alors, dans votre prochaine fiche de poste, dans votre prochain entretien, dans votre prochaine promotion interne... ➡️ Allez-vous encore parler uniquement de “compétences techniques” ? Ou allez-vous reconnaître et valoriser ces talents invisibles qui changent tout ? C’est là que commence le recrutement intelligent. Pour en savoir plus, prenez rendez-vous avec nous : Prenez RDV. 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par Madircom 1 juillet 2025
Aujourd’hui, chaque entreprise se dit “humaine”, “inclusive”, “engagée”... Mais combien le prouvent réellement dans les faits ? En 2025, les candidats – et même vos propres collaborateurs – ne se contentent plus de beaux discours. Ils scrutent vos actes. Ils veulent du vécu, pas des slogans. Et c’est là que se joue la vraie puissance de votre marque employeur. 🌟 1️⃣ La défiance envers les “belles histoires” est réelle En 2025, les collaborateurs comme les candidats ne se laissent plus séduire par les discours bien ficelés et les jolies plaquettes RH. 📢 Parler de "bienveillance" tout en pratiquant le management par la peur, 🧱 Prôner une "culture du feedback" alors que personne n’ose contredire le N+1, 🎭 Afficher des engagements RSE, sans jamais les incarner au quotidien… 👉 Ce type de décalage détruit la confiance. 🔍 Et ce n’est pas un détail : dans un monde où la transparence devient la norme, les collaborateurs développent un radar à bullshit ultra-sensible. Ils ne cherchent plus un beau discours, ils cherchent des preuves tangibles de cohérence. 💬 Que veulent-ils vraiment ? La Gen Z attend de la clarté et de la transparence. Les profils seniors veulent du respect et de la reconnaissance. Les candidats en reconversion cherchent un cadre humain et aligné avec leurs valeurs. ❗Et tous ont une exigence commune : voir une entreprise qui fait ce qu’elle dit, et dit ce qu’elle fait. 🎯 Sinon ? Ils partent ailleurs. Et ils ne partent pas seuls : ils racontent aussi pourquoi ils sont partis. Sur Glassdoor, sur LinkedIn, autour d’un café. 📉 Résultat : baisse de l’attractivité, désengagement en interne, réputation qui s’effrite. 2️⃣ Votre culture d’entreprise ne se raconte pas, elle se ressent au quotidien Aujourd’hui, une marque employeur ne se bâtit plus à coups de vidéos inspirantes ou de posts LinkedIn joliment designés. 🎯 Elle se construit dans les gestes du quotidien, dans les choix managériaux, dans les silences… et dans les détails. 💬 Ce que vos collaborateurs vivent chaque jour en dit bien plus que n’importe quelle campagne de communication RH. 🔍 Voici quelques vrais indicateurs de votre culture d’entreprise : La déconnexion est-elle respectée ? 📱 Ou bien vos équipes continuent-elles de répondre aux mails à 22h par peur du jugement implicite ? Le feedback est-il une routine managériale ou un concept RH oublié ? 👂 Vos managers prennent-ils le temps de faire des points réguliers, d’écouter, de remercier, de corriger sans blesser ? La diversité est-elle visible dans vos recrutements ? 🌍 Est-ce que vos processus garantissent l’équité, ou bien certains profils restent encore “par défaut” écartés ? Vos engagements RSE sont-ils concrets ? ♻️ Des actions mesurables, suivies, partagées ? Ou de simples communiqués annuels que personne ne lit ? 🎢 En clair : ➡️ Une culture ne se décrète pas dans une charte. ➡️ Elle s’incarne dans les couloirs, les réunions, les entretiens, les pauses café, les décisions stratégiques. 📢 Spoiler alert : le baby-foot ne suffit plus. 😅 Les collaborateurs attendent de la consistance, pas de la cosmétique. 💡 Parce qu’en 2025, ce n’est plus ce que vous dites qui fait foi… mais ce que vous faites vivre à vos équipes. 3️⃣ Vos meilleurs ambassadeurs… ce sont vos salariés En 2025, les candidats ne lisent plus seulement vos offres d’emploi ou votre page “Carrière”. Ils consultent Glassdoor, fouillent LinkedIn, regardent ce que vos collaborateurs publient… et surtout comment ils en parlent. 💡 La réalité vécue en interne est devenue votre argument de vente le plus puissant. 📢 La parole d’un salarié authentique vaut 10 fois plus qu’un discours corporate rédigé par le service communication. Et les talents l’ont bien compris. 🔍 Alors, que pouvez-vous faire concrètement pour activer ce levier puissant de marque employeur ? ✅ Encourager les témoignages spontanés Un salarié qui partage une victoire d’équipe, une réussite client ou un moment fort vécu en interne est bien plus crédible qu’un post “top-down”. ✅ Ouvrir les coulisses sur vos réseaux sociaux 🎥 Vidéos “un jour avec…”, stories en immersion, anecdotes du quotidien… L’authenticité capte plus que les messages formatés. ✅ Valoriser les prises de parole internes Un simple “merci” ou un repost depuis la direction peut déclencher une dynamique naturelle de fierté collective. ✅ Créer un climat propice à la fierté d’appartenance 🫶 On ne demande pas à ses équipes de parler de l’entreprise : on leur donne envie de le faire. Par la reconnaissance, l’écoute, l’autonomie, et la transparence. 🎯 Le bouche-à-oreille 2.0, c’est : Une marque employeur vivante et incarnée. Une réputation RH qui s’alimente chaque jour, en interne comme à l’extérieur. Un effet viral, sincère… et gratuit. ✨ Parce qu’au fond, si vos salariés n’ont rien à dire de positif sur vous, pourquoi les talents vous rejoindraient-ils ? 4️⃣ Ce que vous incarnez compte plus que ce que vous promettez En 2025, la crédibilité est la nouvelle devise des marques employeurs. Les talents ne se laissent plus séduire par des slogans bien tournés ou des promesses d’affichage. Ils attendent des preuves. Des actes. De la cohérence. ❌ Dissonance fatale : Une entreprise qui dit valoriser l’équilibre vie pro/perso… mais qui multiplie les visios après 20h 🕗 Une entreprise qui affiche son engagement pour l’égalité… avec un COMEX 100% masculin et blanc 🧑🏻‍💼🧑🏻‍💼🧑🏻‍💼 Une entreprise qui parle de bienveillance… mais où le turnover explose 📉 💥 Résultat ? Une perte de confiance immédiate. Et sans confiance, pas d’engagement. Pas d’attractivité. Pas de rétention. ✅ À l’inverse, les entreprises qui assument et incarnent leurs valeurs font la différence : 🔹 Elles reconnaissent ce qu’il reste à améliorer, sans chercher à se donner le beau rôle. 🔹 Elles partagent leurs avancées, mais aussi leurs doutes ou leurs erreurs, avec transparence et humilité. 🔹 Elles valorisent les comportements alignés avec leurs valeurs (coopération, solidarité, responsabilité…), pas seulement les résultats chiffrés. 💬 Parce qu’au fond, les collaborateurs et les candidats ne cherchent pas la perfection : 👉 Ils cherchent de l’authenticité. De la cohérence. De l’alignement. 🧩 Les actes sont la meilleure campagne RH 💬 “Culture d’entreprise”, “expérience collaborateur”, “valeurs partagées”… Ces mots n’ont de poids que s’ils sont incarnés. Car en 2025, une promesse RH non tenue = un bad buzz potentiel. Et surtout, un vivier de talents qui vous file entre les doigts. 🔥 Alors oui, continuez à parler de votre culture… Mais surtout, montrez-la, vivez-la, partagez-la. 💡 Parce qu’une marque employeur forte, ce n’est pas celle qui brille, c’est celle qui inspire. Et vous, qu’avez-vous prouvé aujourd’hui ? 🎤 Pour en savoir plus, prenez rendez-vous avec nous : Prenez RDV. Pour aller plus loin : 30 bonnes pratiques RH pour valoriser les SENIORS en entreprise https://amzn.to/3zJ4XrA
par Madircom 27 juin 2025
Le monde du travail est en pleine mutation. Après avoir tenté de comprendre les attentes des Millennials, voici que les Générations Z (nées après 1995) et Alpha (nées après 2010) frappent à la porte des entreprises… avec des codes, des exigences et des repères radicalement nouveaux. 🎯 Et la vraie question n’est plus “comment les intégrer”, mais “comment transformer l’entreprise pour qu’ils aient envie d’y rester”. 1️⃣ Un rapport au travail repensé dès le départ 💬 “Je ne veux pas juste un job, je veux une mission.” Cette phrase résume à elle seule le changement de paradigme. Pour les générations Z et Alpha, le travail n’est plus un statut à défendre, mais un outil d’accomplissement personnel. 🎓 Élevés dans un monde d’instantanéité, d’accès illimité à l’information et de crises successives (écologiques, sanitaires, économiques…), ces jeunes actifs arrivent avec une vision du travail plus fluide, plus mobile, plus alignée avec leurs valeurs personnelles. Ils rejettent les modèles rigides du passé et redéfinissent ce qu’ils attendent d’un employeur : 💬 Du sens, pas des slogans vides. Ils veulent comprendre pourquoi ils font ce qu’ils font, et comment cela contribue à un impact réel, au-delà du chiffre d’affaires. 📈 De la progression, pas de la stagnation. Ils veulent évoluer, apprendre, explorer de nouveaux rôles. Un poste figé ? C’est un signal de départ. 📍 De la flexibilité, pas du présentéisme. Horaires fixes et flicage ? Très peu pour eux. Ce qui compte, c’est le résultat et l’équilibre. 🙋 De la transparence, pas de la hiérarchie verticale. Ils veulent être écoutés, considérés, impliqués dans les décisions qui les concernent. 🧭 Ils ne veulent pas un patron, mais un mentor. Un leader qui les guide, les challenge, les inspire – pas un supérieur qui impose, contrôle et décide seul. 💡 Ils ne cherchent pas un emploi, mais un impact. Ils veulent se sentir utiles, contribuer à une vision, participer à un projet porteur de valeur (humaine, sociale, environnementale…). 🎯 Pour les RH et les managers, c’est un appel à réinventer la promesse employeur, les parcours de carrière et les styles de leadership. 👉 Et si ce changement de rapport au travail n’était pas une menace, mais une formidable opportunité de transformation collective ? 2️⃣ Une culture d’entreprise à revisiter ✨ Les nouvelles générations ne se contentent plus d’écouter vos discours… elles observent vos actions. Et attention : leur “bullshit radar” est affûté comme jamais. 👀 Fini le vernis corporate. Les jeunes talents veulent de la cohérence, de l’authenticité, de l’alignement entre les mots, les valeurs affichées… et la réalité du terrain. 🔎 Ils scrutent tout : 🌍 Votre politique RSE : Est-elle concrète, mesurée, engageante… ou juste un paragraphe dans un rapport annuel ? 🌈 Vos pratiques de diversité et d’inclusion : Y a-t-il vraiment de la mixité dans les équipes dirigeantes ? Vos recruteurs sont-ils formés aux biais ? Vos collaborateurs peuvent-ils être eux-mêmes ? 🌿 L’équilibre vie pro/perso : Prônez-vous la QVCT mais organisez-vous des visios à 20h ? Valorisez-vous les temps de repos ? Le droit à la déconnexion est-il réellement appliqué ? 🧩 Le climat de confiance : Est-ce que l’erreur est possible ? La parole est-elle libre ? Les collaborateurs osent-ils donner un feedback sans crainte ? 🚫 Les effets d’annonce ne suffisent plus. Un programme QVT sans réel espace de dialogue ? Une communication “engagée” sans politique RH inclusive ? Cela sonne creux… et décrédibilise l’entreprise. 📢 En 2025, la culture d’entreprise n’est plus une façade. C’est un levier stratégique. 👉 Si vous voulez attirer et fidéliser les jeunes générations, vous devez prouver, au quotidien, que vos engagements sont réels, visibles, vécus. 🎯 Authenticité, cohérence, engagement : voilà les mots-clés d’une culture d’entreprise qui séduit… et qui dure. 3️⃣ Des formats de travail à réinventer La Génération Z (et bientôt Alpha) n’est pas seulement digital native : elle est expérience native. Elle a grandi dans un monde où tout est accessible en 3 clics, personnalisable, immédiat, intuitif. Et elle attend la même fluidité… au travail. 📲 Cette génération est : Ultra-connectée Autodidacte (merci YouTube, ChatGPT & cie) Allergique aux process lourds, aux silos, aux validations à rallonge Impatiente… mais pas désengagée. Elle veut juste des environnements à sa vitesse. 🎯 Ce qu’elle attend concrètement : ✅ Du télétravail hybride… comme standard, pas comme exception Pas par flemme, mais par efficacité. Flexibilité ≠ démobilisation. C’est une question de confiance, de liberté, d’adaptation aux pics d’énergie. ✅ Des parcours de formation “à la demande” Oubliez les modules rigides en présentiel 3 jours bloqués. Elle veut du “juste-à-temps”, “juste-utile”, “juste-curieux” : comme un Netflix de la compétence, consultable à tout moment, selon ses besoins ou envies. ✅ Des projets courts, concrets, itératifs Exit les “projets fleuves” sans feedback avant 6 mois. Cette génération veut avancer, apprendre, ajuster, recommencer. Le cycle test & learn, c’est son ADN. ✅ Une reconnaissance rapide et sincère Elle n’attend pas une médaille, mais un “merci”, un retour utile, un signe qu’elle est vue et entendue. Le management silencieux ou autoritaire ? C’est non. ✅ Une expérience collaborateur fluide et intuitive 👉 Candidature, intégration, formation, évaluation… Tout doit être aussi simple et bien pensé qu’une application mobile. 💡 Vous mettez plus d’énergie dans l’expérience client que dans l’expérience salarié ? Ce déséquilibre se voit… et se paie. 4️⃣ Pourquoi agir maintenant ? La Génération Z représente déjà plus de 25 % des actifs dans le monde 🌍. Et la Génération Alpha ? Elle arrive à grands pas : les premiers stagiaires seront là dans moins de 10 ans. ⏳ Autrement dit : le futur n’est pas à anticiper… il est déjà là. 👎 Attendre, c’est risquer de : 🔻 Voir fuir les jeunes talents : parce qu’un processus RH archaïque ou un management rigide n’a aucune chance face à un environnement plus agile, plus respectueux et plus humain. 🔻 Perdre en attractivité : face à des concurrents qui, eux, savent parler aux nouvelles générations (et surtout, les écouter). 🔻 Creuser le fossé intergénérationnel : en opposant anciens et nouveaux, plutôt que de créer une vraie synergie des talents. 🔻 Freiner l’innovation organisationnelle : car ignorer cette jeunesse, c’est ignorer les usages, les idées, les regards neufs qui font évoluer l’entreprise. 👍 Agir maintenant, c’est : ✅ Booster votre marque employeur : parce qu’une entreprise qui sait se réinventer est naturellement plus visible, plus désirable, plus partagée sur les réseaux. ✅ Stimuler l’engagement : des jeunes collaborateurs, mais aussi des plus expérimentés qui trouvent dans ce renouveau un souffle collectif. ✅ Préparer un futur RH plus inclusif, plus agile, plus durable : en réinventant dès aujourd’hui les formats, les pratiques, les mentalités. 📢 En 2025, ne pas adapter son entreprise aux nouvelles générations, c’est construire sur du sable. 🔥 Le vrai avantage concurrentiel ? Ce ne sont plus les outils. Ce sont les humains — et leur capacité à co-construire l’avenir ensemble. 🔁 Votre transformation n’est pas une option 🚨 Gen Z et Alpha ne vont pas s’adapter à l’entreprise “d’avant”. C’est à l’entreprise de demain de se construire dès aujourd’hui. 📢 Les RH, le management, la direction ont un rôle stratégique à jouer : ⚒️ Repenser les rituels, les valeurs, les outils, les styles de leadership. 🌱 Créer un écosystème professionnel plus humain, inclusif, digital et aligné. Et vous ? Êtes-vous prêt à réinventer votre entreprise pour qu’elle attire, engage et inspire les générations d’aujourd’hui et de demain ? 🚀 Pour en savoir plus, prenez rendez-vous avec nous : Prenez RDV. Pour aller plus loin : 30 bonnes pratiques RH pour valoriser les SENIORS en entreprise https://amzn.to/3zJ4XrA
par Madircom 23 juin 2025
Dans un contexte professionnel où le moindre déséquilibre peut mener à une crise de confiance, un turnover massif ou une vague de burnouts, le climat social est devenu un indicateur stratégique. Mais encore aujourd’hui, trop d’équipes RH réagissent trop tard, une fois que les tensions sont installées, que les démissions s’enchaînent, ou que les arrêts maladie explosent. Pourquoi ? Parce qu’on passe à côté des signaux faibles. Ceux qui ne crient pas… mais qui parlent 1️⃣ Hausse silencieuse des micro-absences : un signal à ne surtout pas banaliser Un collaborateur qui s’absente un lundi sur deux, qui enchaîne les journées d'arrêt isolées, ou qui multiplie les “petites” absences sans justification médicale apparente… 👉 Ce n’est pas forcément une stratégie pour profiter du système. C’est souvent le signe d’un déséquilibre profond. 📉 Derrière ces absences à répétition, bien trop souvent minimisées, se cachent : un épuisement émotionnel que la personne n’arrive plus à verbaliser, un sentiment d’inutilité ou de surcharge, où venir travailler devient une lutte, une tentative d’auto-protection, face à un environnement perçu comme toxique ou insécurisant. Et surtout : ces absences ne sont presque jamais le cœur du problème, mais le symptôme. 🎯 Ce que les RH et les managers doivent faire : ✅ Identifier les récurrences et les signaux croisés : un cumul de micro-absences + une baisse de performance + moins d'interactions sociales = un signal fort déguisé en signaux faibles. ✅ Instaurer un espace de parole bienveillant dès le retour : “Comment vas-tu ?” sincère > “Tu rattraperas ton retard” sec. ✅ Former les managers à détecter les signaux faibles émotionnels, comportementaux et relationnels. ✅ Repenser la charge de travail ou l’organisation si plusieurs cas similaires apparaissent au sein d’une même équipe. 2️⃣ Silence en réunion : une alarme sociale qui ne fait pas de bruit… mais beaucoup de dégâts Une réunion sans tension apparente. Un ordre du jour bouclé rapidement. Aucune question, aucune objection, aucun débat. 👉 À première vue, tout va bien. En réalité ? C’est souvent là que le malaise commence. Lorsque les équipes ne questionnent plus, ne réagissent plus ou ne s’expriment plus, ce n’est pas forcément le reflet d’un collectif aligné. C’est parfois le symptôme d’un repli, d’une autocensure, ou d’un désengagement profond. 📉 Ce que le silence peut révéler : 🔹 Un climat de peur : les collaborateurs n’osent plus parler par crainte d’être jugés, sanctionnés ou discrédités. 🔹 Un sentiment d’inutilité : pourquoi parler si les décisions sont déjà prises, si les idées ne sont jamais retenues, ou si les remontées ne sont pas traitées ? 🔹 Un passé conflictuel non digéré : des tensions mal gérées, des conflits étouffés ou une précédente prise de parole mal accueillie laissent des traces… et installent un “silence protecteur”. 🎯 Pour les RH et les managers, ce silence est un baromètre émotionnel à prendre très au sérieux : ✅ Observer : notez qui prend encore la parole… et surtout qui ne la prend plus. ✅ Créer des espaces d’expression alternatifs : sondages anonymes, entretiens individuels, boîtes à idées, ateliers de co-construction. ✅ Valoriser la prise de parole : remercier une contribution, même si elle est critique, redonne confiance. ✅ Travailler la culture du désaccord constructif : apprendre à débattre sans se juger, à challenger sans sanctionner. 3️⃣ Turnover en hausse, mais rationalisé : et si on arrêtait de se rassurer à coups de prétextes ? Un départ par-ci, un autre par-là. Et toujours la même rengaine : 👉 “Elle a eu une belle offre ailleurs.” 👉 “Il voulait changer d’air.” 👉 “C’était le bon moment pour lui.” Mais est-ce vraiment toute l’histoire ? Ou plutôt ce qu’on préfère entendre… pour ne pas affronter le fond du problème ? 🔎 Derrière les raisons officielles, les vraies causes : Selon plusieurs études RH récentes (Gallup, APEC, BVA), plus de 60% des départs sont liés à des facteurs internes : 🔻 Un management déficient (absence de feedback, autoritarisme, favoritisme…) 🔻 Un manque de reconnaissance (salaire figé, peu de valorisation des efforts, pas de perspectives d’évolution…) 🔻 Un climat social dégradé (ambiance délétère, conflits latents, stress chronique, surcharge constante…) 💬 Résultat : les talents ne claquent pas la porte par opportunité, ils partent par usure. 📊 RH : ne confondez pas raison exprimée et raison profonde. Trop souvent, on se contente de classer les départs dans un fichier Excel, en “motif départ : opportunité externe”... Et on passe à autre chose. Mais le turnover est un indicateur social, pas une fatalité RH. Il faut l’écouter, le décrypter, le comprendre. 🎯 Bonnes pratiques à activer : ✅ Mener des entretiens de départ qualitatifs : au-delà du formulaire standard, osez poser les vraies questions (et écoutez les non-dits). ✅ Croiser les signaux faibles : absences, désengagement, demandes de mobilité internes avortées, baisse de performance… ✅ Identifier les clusters à risque : certains départs en cascade (dans une même équipe ou sous un même manager) doivent alerter immédiatement. ✅ Passer d’une approche comptable à une approche humaine : chaque départ mérite une analyse. Car il en dit long… sur ceux qui restent. 4️⃣ Perte d’initiative : quand l’envie s’éteint… et que plus personne ne s’en étonne Un collaborateur auparavant moteur, force de proposition, toujours volontaire… … qui aujourd’hui se contente d’exécuter, sans rien proposer, sans enthousiasme, presque mécaniquement ? 👉 Ce n’est pas de la fainéantise. 👉 Ce n’est pas un "manque d’ambition". C’est souvent un symptôme de désengagement profond – silencieux, mais révélateur. 🔍 D’où vient cette perte d’initiative ? La motivation ne disparaît jamais par hasard. Elle s’érode à coups répétés de : ❌ Feedback uniquement négatif ou punitif : “Pas comme ça !” “Encore une erreur !” ❌ Absence totale de reconnaissance : on attend beaucoup, on ne valorise rien. ❌ Surcharge sans soutien : quand on donne plus, on reçoit… plus de tâches. Pas plus d’écoute. ❌ Sentiment d’inutilité : proposer, pour qu’au final rien ne change. 📉 Résultat : le salarié se protège. Il se met en retrait. Il ne prend plus d’initiative, car il a compris qu’elle ne mène à rien. 🧠 Ce que ça dit, profondément : Un salarié désengagé ne crie pas forcément “je vais partir”. Mais il arrête d’y croire, petit à petit. Il continue à faire son travail, oui. Mais l’implication disparaît. Et avec elle : la créativité, la proactivité, la dynamique collective. 🎯 Ce que les RH et les managers peuvent faire : ✅ Identifier les changements de posture : baisse de participation, refus de missions transverses, retrait dans les échanges… ✅ Poser la bonne question : “Qu’est-ce qui te motivait avant… et qu’est-ce qui te freine aujourd’hui ?” ✅ Revaloriser les contributions passées : remettre en lumière les succès pour raviver le sentiment d’utilité. ✅ Redonner du cadre et du sens : pourquoi fait-on ce qu’on fait ? Et comment chacun y contribue ? ✅ Co-construire un nouvel espace de progression : même petit, un projet motivant peut raviver la flamme. 5️⃣ Baisse des “bruits de couloir” : quand trop de calme rime avec perte de lien Des couloirs qui résonnent plus que d’habitude, des échanges brefs dans les open spaces, des messageries instantanées muettes… Ça semble rassurant ? 👉 Détrompez-vous. Un environnement trop silencieux n’est pas synonyme d’efficacité. Il sape le lien social – ce ciment essentiel du collectif. 🔍 Pourquoi un climat trop calme est souvent dangereux : 🔹 Le lien s’effiloche Les discussions informelles, les blagues, les retours rapides… c’est la vie qui circule. Sans elles, les relations se figent, se distendent, et les individus s’isolent. 🔹 Moins de résilience collective Dans une équipe soudée, on s’entraide spontanément. Quand le lien manque, chacun avance en solo, en mode survie, sans soutien. 🔹 Moins d’intelligence collective Les idées naissent souvent de ces échanges informels — à la machine à café, sur un coin de table. Sans ces bulles de créativité, l’organisation perd de sa capacité d’innovation et de réactivité. 💡 Le rôle stratégique des RH : Ce calme apparent est un signal faible, mais puissant. Il faut réveiller la communauté, rétablir le lien. Voici comment : ✅ Ritualiser les moments informels Mid mornings, afterworks, déjeuners en équipe Forums internes, groupes de discussion informels Coffee talks ou salons virtuels réguliers ✅ Encourager la participation spontanée Favoriser les temps d’échange non cadrés : “discussions réseau” libres, “retours sans masque” ✅ Décloisonner les services Pause-café inter-équipes, événements transverses, partages d’expériences Un contexte idéal pour stimuler le dialogue naturel ✅ Valoriser la parole libre Écouter les “blagues du jour”, les frustrations non formulées, les signes de complicité 💡 Écouter ce qui ne se dit pas… mais se ressent Les signaux faibles sont comme des fissures dans un mur : ignorés, ils s’élargissent, se propagent… et finissent par provoquer des dégâts majeurs. 👉 Les RH de 2025 ne doivent plus seulement gérer les crises, mais les prévenir. Et pour cela, il faut : Former les managers à détecter l’invisible, Installer des rituels d’écoute sincères, Donner une vraie place à la parole du terrain. 🎯 Car un bon climat social ne se mesure pas seulement en chiffres, il se vit, il se ressent… et surtout, il se construit au quotidien. Pour en savoir plus, prenez rendez-vous avec nous : Prenez RDV. Pour aller plus loin : 30 bonnes pratiques RH pour valoriser les SENIORS en entreprise https://amzn.to/3zJ4XrA
par Madircom 20 juin 2025
Le monde du travail évolue à une vitesse folle. Pourtant, certaines croyances RH ont la vie dure… Des idées reçues qu’on traîne de décennie en décennie, et qui freinent plus qu’elles n’aident. 👉 Il est temps de faire le tri. Et de dire adieu à ces réflexes obsolètes qui plombent l’attractivité, la fidélisation et la performance RH. Voici les 10 fausses vérités RH à enterrer en 2025 ⛔ 1️⃣ “On recrute sur diplôme, on forme sur le reste” C’est faux — et c’est surtout dépassé. Pendant des décennies, le diplôme a été considéré comme le sésame ultime pour décrocher un emploi. Mais en 2025, cette approche rigide ne tient plus face à la réalité du terrain. Les compétences comportementales, l’envie d’apprendre et l’adaptabilité sont devenues les véritables marqueurs de performance et de réussite à long terme. 🎯 Pourquoi ce raisonnement ne tient plus ? Les diplômes ne mesurent pas l’intelligence émotionnelle, l’esprit d’équipe ou la capacité à gérer le stress. Ils ne garantissent ni la curiosité intellectuelle, ni l’autonomie, ni la culture du feedback — des qualités pourtant clés dans un environnement professionnel agile. De plus, les cycles d’obsolescence des savoirs se raccourcissent : ce que l’on apprend en école peut devenir obsolète en 18 mois. Ce qui compte, c’est la capacité à apprendre en continu, pas seulement le bagage initial. 💡 Cas concret : Un candidat autodidacte passionné par l’UX design, qui a créé 3 projets personnels, qui échange sur des forums spécialisés, qui se forme via des MOOCs… sera souvent plus opérationnel, plus curieux, plus engagé qu’un diplômé de master peu motivé, sorti d’école avec peu de projets concrets. 📌 Ce que les RH peuvent faire concrètement : ✅ Repenser les grilles d’analyse des candidatures : valoriser les projets, l’expérience de terrain, la progression personnelle. ✅ Former les recruteurs au “recrutement par le potentiel”, avec des entretiens centrés sur les soft skills, la motivation, la résilience. ✅ Intégrer des mises en situation ou des tests pratiques dans les processus de recrutement pour mieux évaluer la vraie valeur ajoutée. ✅ Ouvrir les viviers à des profils atypiques : reconversion, autodidactes, jeunes sans diplôme mais avec forte envie d’apprendre. 🚫 Ce qu’on perd à rester figé sur les diplômes : Des talents invisibles ou exclus dès le tri de CV 📄 Une homogénéité qui tue la diversité cognitive 💭 Une organisation qui recrute… mais n’innove plus 🔒 2️⃣ “Le télétravail nuit à la productivité” ❌ Faux. Archi-faux. Et pourtant, cette croyance reste tenace dans de nombreuses organisations en 2025. Après le “tout distanciel contraint” de la période Covid, beaucoup d’entreprises ont voulu “reprendre la main” en imposant un retour massif au bureau. En cause ? Une peur diffuse que les salariés fassent moins, voire “profiter” du télétravail. Mais la réalité est bien différente. 📊 Ce que disent les chiffres : Une étude de l’INSEE (2024) révèle que 72 % des télétravailleurs se sentent plus efficaces à domicile, notamment sur les tâches de fond. 1 salarié sur 2 déclare travailler plus en télétravail, avec moins d’interruptions, de bruit, de réunions non essentielles. Le télétravail favorise la concentration, l’autonomie et la responsabilisation. 💡 Le vrai problème, ce n’est pas le télétravail. C’est le manque de cadre, de confiance et d’outils adaptés. Quand les objectifs sont flous, la communication absente et les managers dans le contrôle permanent, oui, le télétravail devient flou, frustrant, improductif. Mais bien pensé, il devient un accélérateur de performance et d’engagement. 🎯 Ce que les RH peuvent mettre en place : ✅ Co-construire une charte de télétravail claire et souple (cadre commun + marges de manœuvre) ✅ Former les managers au pilotage hybride : à distance, on ne manage plus par la présence… mais par la confiance, le feedback, la clarté ✅ Mettre à disposition des outils collaboratifs fluides (Teams, Notion, Slack, Miro…) et instaurer des rituels d’équipe à distance ✅ Mesurer la performance non pas au temps passé, mais aux résultats obtenus 🧨 Le risque d’un retour trop autoritaire au bureau ? Un sentiment de flicage et de défiance 😒 Une perte d’attractivité pour les talents, notamment les jeunes 🔍 Une fuite vers des entreprises plus flexibles 💼 3️⃣ “Les jeunes ne veulent plus travailler” Un cliché tenace, injuste… et surtout contre-productif. Ce reproche, souvent lancé avec condescendance, en dit plus sur notre incapacité à nous remettre en question que sur la Génération Z elle-même. 🚫 Déconstruisons le mythe Non, les jeunes ne sont pas fainéants. Non, ils ne fuient pas l’effort. Non, ils ne veulent pas tous “devenir influenceurs”. Ils veulent travailler autrement : avec du sens, de la souplesse, un équilibre, et surtout : du respect. Et peuvent-on vraiment leur en vouloir… quand les anciennes générations leur lèguent une planète en crise, un marché du travail hyper précaire, et des carrières où le mot “sacrifice” a longtemps remplacé celui de “réalisation” ? 💬 Ce que la Gen Z cherche (vraiment) : 🎯 Un projet porteur de sens, pas un bullshit job 👥 Un management horizontal, basé sur l’écoute et la confiance 🧠 Des opportunités d’apprentissage continu, pas une case figée 🌱 Une entreprise alignée avec ses valeurs (écologie, diversité, inclusion) ⏰ De la flexibilité pour vivre, pas juste survivre 🤷 Pourquoi ce malentendu persiste ? Parce que certains RH ou managers continuent de valoriser l’ancien modèle : ➡️ Présence = performance ➡️ Loyauté = heures supplémentaires ➡️ Motivation = faire ses preuves en silence Or, le monde a changé. Les attentes aussi. 🎯 Ce que les RH doivent faire : ✅ Intégrer les jeunes dans la co-construction des projets (et pas seulement les onboarder) ✅ Repenser les parcours d’intégration pour qu’ils soient immersifs et inspirants ✅ Revaloriser les soft skills, la créativité et l’autonomie ✅ Proposer des rituels managériaux centrés sur l’écoute, le feedback et l’évolution ✅ Revoir les indicateurs RH : fidélité ne veut plus dire 10 ans de boîte, mais 2 ans d’engagement total ⚠️ Ignorer cette attente, c’est perdre la bataille des talents 👉 La Gen Z représente 1 actif sur 4 aujourd’hui, et plus de 30 % des recrutements annuels. 👉 Ne pas adapter ses pratiques à cette génération, c’est affaiblir son attractivité, son innovation, sa marque employeur. 4️⃣ “Un bon manager, c’est un expert technique” Une croyance encore trop présente… mais totalement dépassée en 2025. Pendant longtemps, on a promu les meilleurs techniciens, commerciaux ou experts métier au rang de manager, en pensant que maîtriser l’opérationnel suffisait à diriger une équipe. ❌ Résultat : des managers techniquement brillants, mais humainement dépassés. 💥 Le piège du “super-expert promu chef” Être un bon manager n’a plus rien à voir avec la capacité à exécuter une tâche. Aujourd’hui, ce qu’on attend d’un manager, c’est de : ✅ Fédérer une équipe autour d’une vision ✅ Cultiver la confiance et la sécurité psychologique ✅ Développer les compétences des autres ✅ Faire preuve d’écoute, d’équité, d’exemplarité ✅ Arbitrer, donner du sens, valoriser les contributions Et non pas : résoudre chaque problème à la place de ses collaborateurs. 🔄 Ce qu’on observe trop souvent : 📉 Des “managers-experts” qui micro-managent 📉 Qui peinent à déléguer 📉 Qui valorisent la performance individuelle plus que la collaboration 📉 Qui évitent les conflits ou le feedback… par manque de formation 💡 Cas concret : Une entreprise industrielle française a récemment promu ses meilleurs techniciens au management. 🎯 Objectif : valoriser la compétence métier. ⛔ Résultat : Turnover, tensions, désengagement. Pourquoi ? Parce qu’ils n’avaient pas été formés à encadrer, accompagner, écouter. Et parce que la posture de leader n’est pas innée, elle s’apprend, se travaille, se renforce. 📚 Ce que les RH doivent activer : ✅ Former les managers à la communication, au feedback, à la gestion des conflits ✅ Mettre en place un parcours de développement managérial progressif ✅ Distinguer l’évolution “experte” et l’évolution “managériale” : deux voies, deux vocations ✅ Inclure des critères de soft skills dans les promotions (et pas seulement les KPIs) 5️⃣ “Un bon package suffit à fidéliser” C’est l’un des raccourcis RH les plus fréquents… et les plus dangereux. Oui, le salaire reste un levier d’attractivité. Mais en 2025, il ne suffit plus à retenir les talents. On ne quitte pas une fiche de paie. On quitte un management toxique, un climat anxiogène, un manque de perspectives. Et à l’inverse, on reste là où on se sent considéré, valorisé, écouté. 📊 Ce que disent les chiffres : 62 % des salariés français placent la qualité des relations humaines au-dessus du salaire dans leurs priorités professionnelles (source : Baromètre QVCT 2024). 1 collaborateur sur 2 envisage de quitter son poste faute d’évolution ou de reconnaissance… malgré un bon niveau de rémunération. 💡 En clair : le package est un point d’entrée, pas un point de rétention. ❤️ Ce qui fidélise durablement, ce sont : ✅ Des relations humaines saines Un climat de respect, de confiance et de coopération. ✅ Des perspectives d’évolution claires Une feuille de route individuelle, un plan de montée en compétences, de la mobilité interne. ✅ Un management bienveillant Des leaders qui encouragent, écoutent, ajustent. Qui assument leur rôle de soutien, pas de surveillance. ✅ Une reconnaissance au quotidien Un “merci”, un feedback positif, une visibilité sur les réussites : ça coûte 0€, mais ça change tout. ✅ Un alignement avec les valeurs de l’entreprise L’impression de contribuer à quelque chose de plus grand que soi. 👎 Les erreurs fréquentes à éviter : Miser uniquement sur une augmentation annuelle pour calmer les tensions Multiplier les “perks” gadget (baby-foot, paniers de fruits…) sans traiter les vrais irritants Penser que les RH peuvent compenser un management défaillant 🎯 Ce que les RH doivent mettre en place : ✔️ Une culture du feedback positif et constructif ✔️ Des parcours d’évolution personnalisés et visibles ✔️ Des entretiens de développement en plus des entretiens d’évaluation ✔️ Des rituels de reconnaissance informels et collectifs ✔️ Une écoute active des irritants internes (charge mentale, conflits, flou organisationnel…) 6️⃣ “Former, c’est coûteux” C’est l’un des mythes les plus tenaces dans certains comités de direction… et l’un des plus contre-productifs. On regarde souvent le coût d’une formation à court terme. Mais combien coûte un salarié non formé sur le long terme ? 💥 Un collaborateur non formé, c’est : 💰 Des erreurs récurrentes qui ralentissent les projets ou compromettent la qualité. 😓 Du stress, lié au sentiment de ne pas être à la hauteur ou de subir ses missions. 📉 Du désengagement, car sans montée en compétences, il n’y a ni projection, ni motivation. 🔁 Un risque accru de départ, car un salarié qui n’apprend plus est un salarié qui partira (et qu’il faudra remplacer à prix fort). 👉 Et n’oublions pas : un salarié mal formé… peut aussi mal former les autres. 🔍 Le vrai coût, c’est l’immobilisme Ne pas investir dans la formation aujourd’hui, c’est : Freiner l’innovation Rendre l’entreprise vulnérable aux changements (techno, réglementaires, métiers) Creuser l’écart avec les concurrents plus agiles 🎯 À l’heure où les compétences évoluent à grande vitesse, le savoir devient un avantage concurrentiel décisif. ✅ Former, c’est sécuriser l’avenir Les entreprises performantes l’ont compris : Elles forment en continu, à tous les niveaux, et sur des formats adaptés. 💡 En 2025, la formation ne rime plus avec salle de classe obligatoire ou coûts exorbitants. Elle peut être : Digitale (Mooc, LMS, micro-learning…) En situation de travail (AFEST, tutorat…) Expérientielle (co-développement, ateliers pratiques…) Co-construite avec les équipes (formation pair à pair) Et surtout : finançable à 100 % ou en partie via CPF, OPCO, ou dispositifs publics. 🎯 Stratégies RH à activer : 👉 Cartographier les compétences critiques et les écarts à combler 👉 Intégrer un volet formation dans chaque évolution de poste 👉 Valoriser les formations suivies dans les parcours professionnels 👉 Sensibiliser les managers à leur rôle de passeurs de savoir 7️⃣ “La diversité, c’est un truc de com’” Encore une croyance d’un autre temps… et pourtant, elle persiste. 👉 En 2025, réduire la diversité à une simple opération d’image est une erreur stratégique majeure. 💡 La diversité, ce n’est pas juste un “plus”. C’est un levier de performance. Des études de McKinsey, Deloitte ou encore du Boston Consulting Group l’ont prouvé : Les équipes diverses performent mieux : +33 % de probabilité de surperformance pour les entreprises avec une gouvernance inclusive. La diversité stimule la créativité, l’intelligence collective et la résolution de problèmes complexes. Elle renforce la capacité d’innovation, car des points de vue variés permettent de penser "hors cadre". 🧠 Une entreprise homogène est une entreprise fragile 👉 Même parcours, même âge, même école, même mode de pensée… et le risque de biais collectifs explose. Sans diversité, les décisions deviennent stériles, les produits moins adaptés, les recrutements clonés. Et l'entreprise se déconnecte de la réalité de ses clients comme de ses collaborateurs. 🚫 Ce qu’il faut éviter : 📸 Des photos de “diversité” pour le site carrière sans actions concrètes derrière. 🗣️ Des discours inclusifs… dans une culture managériale qui tolère les micro-agressions. 📑 Des chartes de diversité non appliquées au quotidien. ✅ Ce qu’il faut faire : une politique d’inclusion active et sincère 🎯 Exemples d’actions concrètes : Mettre en place des process de recrutement non discriminants (CV anonymes, formation aux biais…) Suivre des indicateurs de diversité et d’équité dans la gestion RH Soutenir les groupes internes d’inclusion (LGBTQIA+, intergénérationnel, handicap, égalité femmes-hommes…) Créer des espaces de parole sécurisés pour les minorités Valoriser les parcours atypiques et la richesse des expériences 💬 “Inclure”, ce n’est pas juste “inviter à la table”. C’est aussi écouter, valoriser, et faire de la place pour tous. 8️⃣ “Les RH, c’est la police de l’entreprise” C’est l’un des clichés les plus tenaces… et les plus destructeurs. ❌ Réduire la fonction RH à un rôle de contrôle, de conformité ou de sanction, c’est passer à côté de tout ce qu’elle peut réellement apporter à l’entreprise. 👮 Faux : les RH ne sont pas les gardiens du code du travail. 🎯 Ce sont les architectes de l’expérience collaborateur, les chevilles ouvrières de la transformation culturelle, les stratèges du capital humain. 👉 Ils accompagnent les managers, soutiennent les collaborateurs, anticipent les mutations… bien loin du simple rôle de “bureau des règlements”. 🤔 D’où vient ce malentendu ? D’une communication RH trop descendante, trop normative. D’un manque de proximité terrain dans certaines organisations. D’un héritage “administratif” encore très présent : gestion des absences, procédures disciplinaires, entretiens réglementaires… ⚠️ Résultat : les RH sont perçus comme ceux “qui tapent sur les doigts”, “qui bloquent les évolutions”, ou “qui sont du côté de la direction”. 💥 Ce qu’il faut changer : la posture… et les moyens 👉 Pour transformer cette image, les RH doivent : Être visibles et accessibles, dans une posture d’écoute et de service. Co-construire les politiques RH avec les équipes et les managers. S’investir dans la qualité de vie au travail, la prévention, le dialogue social. Accompagner les parcours, les talents, les aspirations, pas juste les règles. ✅ Ce qu’une fonction RH moderne incarne : L’équilibre entre performance et bien-être Le lien entre les valeurs affichées et les pratiques vécues Le moteur de l’inclusion, du développement, et de la transformation durable 💬 En 2025, les meilleurs DRH ne sont pas ceux qui “font respecter le règlement”, mais ceux qui font avancer les humains et les organisations. 9️⃣ “L’onboarding, c’est le premier jour” Faux, archi faux. L’onboarding ne se résume pas à un badge d’entrée, une visite des locaux ou un PowerPoint d’accueil. 💡 C’est une période stratégique de 30 à 90 jours, parfois plus, durant laquelle un·e collaborateur·rice décide s’il/elle va s’engager… ou décrocher. 🚨 Pourquoi c’est si important ? 👉 22 % des turnovers ont lieu dans les 45 premiers jours. 👉 4 nouvelles recrues sur 10 considèrent que leur arrivée a été mal accompagnée. 👉 Un salarié bien onboardé est 58 % plus engagé après 3 mois (source : Glassdoor, Deloitte, LinkedIn Learning). 🎯 Un onboarding efficace, c’est : ✅ Avant l’arrivée : Un livret d’accueil ou kit digital envoyé en amont 📩 Des infos pratiques sur le poste, les outils, les rituels 📚 Un mot de bienvenue de l’équipe ou du manager 🎉 ✅ La première semaine : Une intégration humaine : déjeuner d’équipe, binôme référent 🤝 Un planning clair, rythmé, pas surchargé 🗓️ Une formation progressive aux outils, aux process, aux valeurs 🧭 ✅ Les 30 à 90 premiers jours : Des points réguliers avec le manager (feedback, écoute, ajustement) Une évaluation d’étape pour valider l’intégration mutuelle 🧩 Des moments conviviaux pour favoriser l’ancrage culturel 🎈 💬 Pourquoi c’est stratégique ? 👉 Un bon onboarding, c’est : +70 % de probabilité que la recrue reste plus de 3 ans Moins de stress, plus d’efficacité dès les premières semaines Une ambassadrice ou un ambassadeur naturel de votre marque employeur 👎 En revanche, un onboarding négligé donne ça : “Je n’ai vu personne le premier jour.” “Personne ne savait que j’arrivais.” “On m’a mis devant un ordi… sans identifiants.” “J’ai appris les infos importantes par des collègues au détour d’un couloir.” 🎯 Résultat ? Démotivation, erreurs, départ prématuré, mauvaise réputation. 🔟 “Un salarié qui critique est un problème” Et si on arrêtait de confondre critique et défiance ? Non, un·e salarié·e qui remet en question un processus, une décision ou une pratique ne cherche pas à nuire à l’entreprise. 👉 Il/elle cherche souvent à l’améliorer. Dans un monde du travail en mutation constante, les remontées du terrain ne sont pas des nuisances : ce sont des pépites à valoriser. 💎 💡 La critique constructive = un signe de santé organisationnelle Un salarié qui ose : 🔹 Signale un problème latent avant qu’il n’explose 🔹 Fait preuve d’un haut niveau d’engagement émotionnel 🔹 Témoigne d’un sentiment de sécurité psychologique suffisant pour s’exprimer 🔹 Peut devenir un acteur du changement, pas un frein 👉 En revanche, ce qui est toxique, ce n’est pas la critique… c’est l’omerta, le tabou, l’évitement ou le cynisme silencieux. 👎 Le vrai danger RH ? Ignorer, infantiliser, ou punir ceux qui s’expriment. ⚠️ Résultat : Un climat de méfiance 😶 Une multiplication des départs “silencieux” (quiet quitting) Une entreprise déconnectée de ses propres réalités opérationnelles 🎯 Ce que les RH et les managers peuvent mettre en place : ✅ Des espaces d’expression sécurisés (groupes de parole, boîtes à idées, baromètres anonymes) ✅ Une culture du feedback à double sens : manager ➡️ collaborateur ET collaborateur ➡️ manager ✅ Des rituels d’écoute : bilans d’équipe, debriefs post-projet, points “météo” en réunion ✅ Une posture managériale ouverte : accueillir sans se braquer, reformuler sans disqualifier 🧱 Vers une entreprise apprenante et agile 📌 Les critiques (même maladroites) sont souvent le point de départ des innovations. 📌 Les plus belles transformations naissent parfois d’un simple “Ça ne marche pas, pourquoi ne pas faire autrement ?” 💡 Les croyances RH ne doivent pas survivre à la réalité 2025 n’est pas une simple continuité… C’est une année de bascule. Une période charnière où les organisations qui avancent sont celles qui réapprennent à penser. ✅ Les entreprises qui sortent du lot ne sont pas forcément les plus riches en budget RH, mais les plus lucides et courageuses. Celles qui osent dire : “Ce qu’on pensait vrai ne l’est peut-être plus.” 🔍 Remettre en cause ≠ renoncer Trop longtemps, certaines croyances RH ont été érigées en vérités immuables : “Le télétravail tue la cohésion” “Former, c’est une dépense” “Les jeunes ne veulent plus s’engager” “Un salarié qui critique est un problème” ... Et la liste est longue. Mais l’environnement de travail évolue. Les attentes changent. Et il est temps que nos pratiques RH suivent cette transformation. 🎯 Changer de prisme, pour changer d’impact 👉 Enterrer une croyance RH dépassée, ce n’est pas faire table rase du passé. C’est choisir une meilleure version de soi-même en tant qu’organisation. C’est faire le deuil d’un modèle figé pour accueillir une posture plus : Humaine 🫶 Agile 🔄 Connectée aux vrais besoins des équipes 💬 Orientée vers la performance durable 🌱 🚀 Le vrai enjeu RH en 2025 ? Ce n’est plus seulement de gérer l’humain. C’est de faire grandir les individus, les collectifs et les cultures d’entreprise. Et cela commence par une chose simple (mais exigeante) : questionner ce que l’on croit savoir. 📢 Alors, à vous de jouer : Quelles croyances RH allez-vous oser enterrer cette année ? Et surtout… par quoi allez-vous les remplacer ? 🧱 Pour en savoir plus, prenez rendez-vous avec nous : Prenez RDV. Pour aller plus loin : 30 bonnes pratiques RH pour valoriser les SENIORS en entreprise https://amzn.to/3zJ4XrA